Paris a conservé sa place parmi les quatre « super cities » mondiales, les trois autres étant Tokyo, New York et Londres

Ces métropoles sont en tête de l’indice d’attractivité commerciale (Commercial Attraction Index), la référence principale que JLL utilise pour évaluer la robustesse de l’économie d’une ville et de son marché immobilier, en fonction de leur échelle, de leur rayonnement mondial et de leur attrait auprès des investisseurs.

Paris est l’une des premières villes au monde sur lesquelles se porte le choix des investisseurs pour l’immobilier d’entreprise : la métropole a ainsi attiré plus de 56 milliards de dollars d’investissement sur les trois dernières années (du T4 2012 au T3 2015), dont 10 milliards de dollars pour l’année en cours. C’est le troisième marché d’immobilier de bureaux en termes de taille, et l’une des 10 plus grandes économies métropolitaines. En conséquence de quoi, ce haut niveau d’investissement immobilier n’est donc  pas surprenant.
Toutefois, l’attrait qu’exerce Paris dépasse toute attente. Son classement régulier dans le top 20 de l’indice JLL d’intensité de l’investissement (Investment Intensity Index) (14e au T3 2015), qui rapporte les volumes d’investissement au PIB d’une ville, renforce l’intérêt que lui portent les investisseurs immobiliers. D’ordinaire, celles qui affichent les meilleurs résultats pour cet indice sont des villes de taille moyenne, riches en industries technologiques, comme Munich, Copenhague ou Oslo. La présence récurrente de Paris, une « supercity », dans ce top 20est la preuve de l’attrait qu’elle exerce auprès des investisseurs.
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